Bruxelles, la démographie, le social et la santé en quelques chiffres :
Démographie : bien qu’il y ait un nombre important de personnes non répertoriées comme les réfugiés en attente de régularisation, les illégaux, etc, (ils seraient près de 50.000…), Bruxelles compte officiellement (en 2011), 1.132.311 habitants. Cette explosion démographique a des conséquences en termes de logements, d’écoles, de crèches et de transports en commun. C’est à Bruxelles qu’il y a le taux de natalité le plus élevé du pays : 16,6 % pour 11,6 % en Wallonie et 10,8 % en Flandre. Près d’un nouveau-né sur deux a des parents non belges. Les naissances les plus fréquentes proviennent des quartiers dits « défavorisés » à forte densité de population immigrée. Cette augmentation du nombre d’enfants, pose de sérieux problèmes d’accueil dans les crèches, les maternelles et les écoles primaires. Cette structure sociale et surtout multiculturelle opère un ralentissement du vieillissement des « bruxellois » mais occasionne aussi progressivement, un changement de population. Déjà plus de 30 % de la population bruxelloise n’a pas la nationalité Belge.
Social : la majorité des non-belges, principalement non-européens, sont des allocataires sociaux (chômage, CPAS, mutuelle), ils sont 54,2 % à être sans emplois (chiffres 2012). La précarité fait la part belle aux trafics en tous genres, aux bandes urbaines, aux zones de non-droits dans des quartiers « ghettos ». Les logements sociaux ne suivent pas et on estime que Bruxelles compte plus de 2.000 SDF dans ses rues. Pour les 19 communes, le taux de chômage serait de plus de 20 % !
Bref selon un sondage, près d’un quart des bruxellois estiment vivre en dessous du seuil de pauvreté et comme un peu partout dans le monde, les inégalités sociales s’étendent, les pauvres deviennent encore plus pauvres, et les riches encore plus riches ! La vraie justice sociale est inexistante !
Quand à nos prisons, elles débordent : nous venons de passer en juin 2013, le cap des 12.000 détenus pour un peu plus de 9.000 places, avec là aussi, une bonne part de non belges…
Santé : ces conditions de vie, ont aussi un effet négatif sur la santé ! L’Observatoire de la Santé et du Social de Bruxelles-Capitale, remarque qu’en l’absence de revenus professionnels dans les familles, ainsi que parmi les habitants des communes à niveau socio-économique moyen ou faible, ces citoyens courent plus de risques de décéder prématurément : les risques de mortalité périnatale et infantile sont multipliés par deux, les affections chroniques, la dépression, le diabète, sont de deux à cinq fois plus fréquents que dans les autres couches sociales de la population. Dans les groupes sociaux plus défavorisés, les jeunes ont plus souvent une alimentation déséquilibrée et sont plus sujet aux addictions au tabagisme et aux drogues diverses. On retrouve dès lors, dans cette tranche de la population bruxelloise, plus de cancers du poumon, de la gorge, des infections respiratoires, de l’obésité, des problèmes cardio-vasculaires, etc.
Rien n’arrive par hasard, il y a toujours une cause…
Chers compatriotes bruxellois, voilà où vous mène inexorablement le modèle de vie que l’on vous impose à travers une politique économique et sociale gérée par des incompétent(e)s !
Vous voulez que cela change, nous en sommes sûrs, alors aux élections de mai 2014, faites-nous confiance ! Croyez-vous vraiment que des gens du peuple, comme nous le sommes tous chez NATION, pourraient être pires que les rapaces qui nous gouvernent ?
En mai 2014, retenez ce nom : Mouvement NATION, la seule alternative, l’unique opposition !
Jean-Pierre Demol
(Sources : Belga – De Standaard – statbel.fgov.be – le DAK – irisnet)